CE QUE L’ON CHOISIT POUR “L’AUTRE”… 

(Quelques mots après le témoignage de Claude Bourguignon 
concernant l'”industrie” basée sur la vente des corps de nos frères et soeurs en évolution). Le texte publié FROM THE ROAD (sans mise en page). 




…Quand j’ai lu le texte de Claude Bourguignon*, qui commence par les mots: “Quand j’ai fini mes études de zoologie et de biochimie à l’université, je suis rentré en agro. Là, en agro, j’ai été horrifié”, et qui – ensuite – décrit certains des “traitements” inimaginables (ce mot se répète se répète très souvent dans l’article) que les humains automatisés et programmés au rôle des “robots” se permettent de commettre sur les animaux qu’ils voient comme… un “produit de la consommation”, je n’ai pu que renoncer – une fois de plus – à ma règle de ne plus diffuser des descriptions des choses et des réalités se trouvant sur un level très bas, et dont je ne veux pas dans mon monde crée et persistant – jusqu’où cette vie se prolonge – en incessante création. 
Horrifiée par mes propres souvenirs datant des premières années de la même vie (les animaux traités et détenus en esclaves, amenés aux champs sur les chaînes aux cous, encastrés, les vaches dé-laitées – nota bene par les femelles humaines tirant à leurs seins pour y extraire le précieux liquide – les petits enfants des mêmes vaches vendus, bien sûr seulement au moment où ils atteignaient un “poids” qui faisait d’eux un “produit marchandable”, les cochons gavés, et qui n’avaient que de se gaver, puisque quoi peut faire un animal, un être vivant qui pendant la plupart de temps de sa vie on retienne dans une espace enfermée, minimale, et à qui on donne justement cette seule chose, qui devient le “sujet” de son existence: la nourriture…?, etc…, etc…, etc…) et par les images loin encore plus atroces, j’ai partagé donc les paroles du témoignage. Je n’essayais même pas de résister à cette envie de faire le “share”, ayant sa source dans la période où je vivais dans un layer énergétique différent, même si aujourd’hui – viv(br)ant dans une dimension de la réalité faite par l’énergie aux vibrations plus hautes, donc qui ne permettent pas à l’existence des atrocités comme décrites, celles-là propres aux basses fréquences – je me rends bien compte quelle est la loi de la création d’un monde (à partir d’une certaine couche des fréquences): et donc, je me rends compte également du fait que mon action pourrait avoir l’effet contraire que celui que je l’ai souhaité**…  

Les atrocités que Claude Bourguignon évoque dans son témoignage n’ont pas de la limite. …Ces atrocités, commises sur les êtres vivants, sensibles, sur les animaux, comme le veut la loi de la nature et la logique incontournable et ineffaçable ne limitent pas de leurs conséquences aux animaux “en exclusivité”. Quand j’ai partagé son article***, je voulais qu’il soit lu “par tous les humains atteignables par les „maladies” et qui s’en étonnent, par ceux qui les voient comme une „fatalité”, „inexpliquable” puisque regardée par un oeil aveuglé”… 

N’est-il pas une évidence que ce qui se crée en (donnant) la maladie vient de la maladie, que ce qui se crée en (donnant) la souffrance vient de l’autre souffrance (qui d’ailleurs seulement en apparence est “autre”), et que toute l’atrocité ne peut donner que l’atrocité conséquente…?

…Mais on est choqué par les atrocités: puisque les exemples des traitements “réservés” aux animaux par les humains-automates évoqués par Claude Bourguignon sont horribles et dépassent une imagination qui se trouverait saine; on est choque donc par ce dont “on ne s’imagine pas”et on associe (enfin) le fait de l’existence des “maladies” – les choses les plus innaturelles dans l’environ sain – dans une couche de la réalité habitée par les humains aux fréquences énergétiques basses, avec ces atrocités, exactement…  

…pendant que déjà le seul fait de manger l’autre, de manger son proche – indépendamment s’il se trouve sur le même niveau de l’évolution ou sur celui qui nous suit et nous avoisine – n’est-elle pas une atrocité…? 
***
Consommer l’autre, consommer son proche, est la chose qui toujours, dans le grand Universe, caractérisait un level de la réalité, une de ses couches innombrables, faite des énergies très basses.

C’est sur ce niveau de la réalité (ou mieux il serait peut-être de le dire en version anglaise: “on/in this layer of the reality(-ies)”: tous les layers étant crées par l’esprit de chaque et de chacune, le monde conçu par l’individu**** étant projeté de l’intérieur par lui-même) que les humains se trouvent concernés et atteignables par les maladies les plus diverses et c’est le niveau sur lequel les “maladies”, tout court, existent;c’est ce niveau sur lequel les humains doivent “travailler pour vivre” (l’esclavage qui fait la règle dans un environnement la fait toujours pour tout ce qui se manifeste), c’est ce niveau sur lequel il n’y a pas de la liberté,du bonheur absolu, de l’amour qui ne craint de rien et qui est l’amour véritable ni de la plénitude, c’est ce niveau sur lequel les individus évoluent encore dans un universe quasi-carcéral dans lequel tout est basé sur les principes de la hiérarchie (puisque les êtres vivants n’envisagent même pas qu’ils peuvent être les maîtres, les Dieux et les décideurs de leurs-mêmes), de la “rivalité” et de la “concurrence” (“l’autre n’est pas un frère et un être à aimer, mais un prétexte à donner la place pour sublimer les émotions à ce point bas-vibratoires comme l’incertitude, les complexes concernant soi-même et la “peur””).

Persister dans une réalité caractérisée par tout cela – puisque par les basses fréquences – est, logiquement, un “choix” des individus caractérisés par les fréquences énergétiques qui en correspondent. 

La conscience qu’avec un tel “choix”: de la cruauté, de l’empoisonnement de son propre corps, et de la vie basé sur l’exploitation des autres êtres vivants, vient également un autre: celui de tout ce qui se trouve évoqué dans le précédent paragraphe, serait une chose nécessaire pour les humains qui voudraient se libérer de ce qu’ils nomment aujourd’hui,  avec l’air impuissant, “la maladie”, la coercition de tout genre présentée dans leur vie, l’esclavage, l’imposition des choses, la “pauvreté”, la “malheur” et la “malchance”. 

Si cette conscience – de ce à quel point ils composent, créent et choisissent les éléments de leur propre réalité eux-mêmes – était un état de l’esprit de la plupart des individus, le monde ne décollerait-il, déjà aujourd’hui, là où il n’y a pas ni de l’exploitation, ni de la coercition, ni de la “dépendance”, ni de la “maladie”, ni même de la mort, puisque tout est fait des vibrations plus hautes…?    

Ce que l’on “choisit” pour l’autre – si cet “autre” soit l’humain ou si ce soit un animal – on choisit toujours, aussi, pour soi-même…


NOTES:  
* Le post de la “B – Abolition”. Claude Bourguinon est l’ingénieur agronome, ancien collaborateur de l’INRA et le Fondateur du LAMS I Laboratoire d’analyse microbiologique des sols. 

** La loi de la création du monde – une des lois naturelles, donc implacables – fait que la réalité extérieure d’un être vivant est crée dans la totalité de son intérieur: donc des “data” enregistrés dans son code de l’âme. À partir d’un certain layer énergétique – chaque layer subséquent étant fait des vibrations aux fréquences plus hautes – cette création devient consciente, et peut donc contenir exclusivement les choses qui forment une réalité que l’on désire. 

*** …J’ai effacé de “chez moi” le témoignage de Claude Bourguignon à peine quelques heures après en avoir fait la citation: elle m’était insupportable. 

…En écrivant cela, je fais le témoignage, de ma part, du fait qu’un environnement aux fréquences énergétiques hautes reste toujours loin de celui des basses: ce qui décale trop énergétiquement ne peut pas s’approcher; il n’y a donc qu’une seule façon d’agir pour changer le monde: qui est celle de hausser fréquences énergétiques de son propre (ce qui signifie “ses propres fréquences”)… Des façons évidentes de le faire j’écrirai dans les prochains textes sur un site web.   

**** Humain-Dieu.  


BALLADYNA.WITCH: “CE QUE L’ON CHOISIT POUR “L’AUTRE”… (Quelques mots après le texte de témoignage de Claude Bourguignon concernant l'”industrie” basée sur la vente des corps de nos frères et soeurs en évolution)”. La Valle D’Uixó, 20-21 Septiembre 2018. 

PHOTOGRAPHY:  from the video of the Song “JE SUIS VENUE ICI POUR VOUS SORTIR DE VOS CAGES” (LYRICS, VOICE & IMAGE: BALLADYNA.WITCH, MUSIC: NEDDINGS). YOUTUBE -> https://youtu.be/w0P7PumSbZo